La salsa portoricaine et cubaine donnent de la pêche pour bien affronter la vie. Le plaisir du mouvement se conjugue en ligne. Place à la salsa sur la piste.
La salsa cubaine
On ressent à sa vue une spirale infernale, avec cette succession de mouvements tournants. On admire la fluidité des mouvements. Le sentiment de complexité vient des mouvements vers de nombreuses directions. La danseuse s’exprime surtout avec les jambes, si on observe bien les mouvements. La dynamique ne s’arrête pas, du début à la fin de la danse. On retrouve l’Afrique et l’Espagne dans cette danse aux accents espagnols. La rueda veut dire que les danseurs organisent une ronde, dynamisme et convivialité sont de la partie ; la salsa suelta se danse en couple, mais seul. Les cours de salsa cubaine proposent les trois pratiques : suelta, couple et rueda.
Le boléro
On ne peut parler de salsa sans évoquer le boléro. C’est un style musical qui nous vient de Cuba, puis adopté par les Mexicains, avant d’être apprécié par tous les habitants de l’Amérique latine. C’est la salsa romantica qui a adapté de nombreux morceaux boléro. La rumba de salon est la version du boléro en danse sportive.
Le casino
Cette danse est pratiquée à Miami et à Cuba. Dans le cours parisiens, elle prend le nom de salsa cubaine. Ce style comprend des passes complexes, codifiées pour les exécuter dans une Rueda de Casino, ensemble de couples qui dansent en formant un cercle et en changeant de partenaires. Si on n’est pas un parfait danseur, les autres danseurs vous en feront voir de toutes les couleurs.
Le Guaguancó
Cette danse nous vient de Cuba. Il s’agit d’un dérivé de la rumba où les deux sexes se livrent bataille sur un tempo de folie, une sorte de jeu entre le chat et la souris. Mieux vaut être jeune et viril. Pour l’apprentissage de la salsa, il vaut mieux éviter cette technique pour se mouvoir sur la piste de danse.
La salsa portoricaine
Cette version de la salsa est sublime. Tous les danseurs se trouvent sur la même ligne de danse. Ses mouvements dégagent une belle fluidité. Cette version de la danse permet l’arrêt pour l’homme. Mais il n’est pas passif, ses mains continuent d’accompagner les mouvements de la danseuse. C’est la version la plus européenne de la danse. On sent dans la cambrure des danseurs l’influence et la fierté espagnole. Le vocabulaire utilisé est anglais. Les moments où l’un ou l’autre partenaire danse sans contact, avec des jeux de jambes et de l’ensemble du corps comme pour provoquer l’autre danseur sont appelés les shines. La femme aura plus la possibilité de s’exprimer avec les bras. Une bonne danseuse saura effectuer les shines, danser en couple et maîtriser à la fois les arrêts pour le style et les jeux de bras. L’émotion est à son comble.
Le mambo, quand New-York s’y met…
Salsa cubaine, salsa porturicaine et salsa new-yorkaise ! Le mambo est la version nord-américaine de la salsa qui se reconnait par les jeux de pieds, appelés shines. Le mambo est optimisé pour danser à deux, en couple, avec de multiples tours et passes. La musique qui accompagne cette danse est riche en cuivres. Elle s’est développée dans les années 40, au XXe siècle.
La salsa chez soi comme à Porto-Rico
Vous en avez rêvé, à présent il est temps de passer à la pratique avec une méthode express d’apprentissage : Salsa Express. Vous apprenez seul, seule, en couple ou en groupe, entre amis. Les modules permettent de comprendre les bases, de les répéter chez soi pour ensuite danser n’importe où, avec n’importe quel danseur. Place aux déhanchements sur les rythmes latino-américains. Le bien-être et l’envoûtement vous mettent le feu. La contagion est là, pas après pas. Vous prenez même plus d’assurance dans la vie de tous les jours. Un cours professionnel pour des amateurs, un mix entre accents africains et européens. La nouvelle méthode vous emportera au rythme de la salsa.
Une petite démonstration ?
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